IN MY LIFE

LA VÉRITÉ SUR JOËL DICKER

Bonjour mes chers lecteurs. Juste un petit message pour vous dire que le 25 mars prochain, je pensais être aux abonnés absents et en fait NON. Pourquoi ? Parce que le dernier roman de Joël Dicker devait faire son apparition dans les bacs ! Je rêvais de sortir cette expression de l’enfer un jour et c’est maintenant chose faite (à peu de choses près). Sur ce, à bientôt.


Good morning, my dear readers. Just a little message to tell you that on March 25th, I thought I would be the absent subscribers and in fact NO. Why not? Because Joël Dicker’s last novel was due to appear in the bins! I was dreaming of getting this expression out of hell one day and it’s now done (pretty much). On that note, see you soon.

Non mais sérieusement, vous pensiez vraiment que j’allais vous faire faux bond ? C’est mal me connaître… Comme vous l’aurez compris, je reviens en cette fin de semaine pour vous parler de Joël Dicker.
Pour faire court, j’ai découvert ses romans par hasard. Étant donné que je ne lis que très peu pendant l’année, j’ai tendance à rattraper mon retard durant l’été. J’emporte deux valises, une de fringues, l’autre de bouquins et je pars au bord de la mer, me dorer la pilule au fil des pages.


No, but seriously, did you really think I was gonna stand you up? You don’t know me very well… As you may have guessed, I’ll be back at the beginning of the week to talk to you about Joel Dicker.

To make a long story short, I discovered his novels by chance. Since I read very little during the year, I tend to catch up during the summer. I take two suitcases with me, one with clothes, the other with books, and I go to the seaside, gilding myself with the pill as the pages go by.

C’est donc au détour d’une librairie que j’ai ouvert l’un des cinq millions d’exemplaires vendus de
La vérité sur l’affaire Harry Quebert. Récompensé en France du Prix de la Vocation de la Fondation Bleustein-Blanchet, du Grand Prix du roman de l’Académie française et du Prix Goncourt des lycéens, ce roman m’a littéralement happée.
Il faut dire que le timing était idéal. Une matinée de juillet, je m’apprêtais à boucler mes bagages et m’apercevais que la pile de livres que j’avais prévue n’était pas assez indécente. Je cherchais donc un énième compagnon de route et j’ouvrais ce livre de six-cent pages en me disant : « Tu lis les premières lignes pour te faire une idée et tu décolles. »
C’est ça l’ennui avec les bons livres, on ne voit pas le temps passer. Harry Quebert m’aura valu une course contre la montre pour attraper mon train et cinq heures de lecture passionnée une fois dedans.

Quelle joie d’apprendre qu’il allait être adapté par Jean-Jacques Annaud, qui n’est autre que le réalisateur de La Guerre du feu, Sept ans au Tibet et Stalingrad, pour ne citer qu’eux. Le résultat, diffusé en 2018, était remarquable. L’histoire, les personnages et la narration – très importante notamment concernant les fashbacks – ont parfaitement été respectés.


So it was around the corner from a bookstore that I opened one of the five million copies of
“The Truth about the Harry Quebert Affair”. Awarded in France the Prix de la Vocation by the Bleustein-Blanchet Foundation, the Grand Prix du roman de l’Académie française and the Prix Goncourt des lycéens, this novel literally grabbed me.

It must be said that the timing was ideal. One morning in July, I was getting ready to pack my bags and realized that the pile of books I had planned wasn’t indecent enough. So I looked for yet another travel companion and opened this six hundred page book and thought: “You read the first few lines to get an idea and then you take off. »
That’s the trouble with good books, you can’t see time going by. Harry Quebert will have earned me a race against time to catch my train and five hours of passionate reading once inside.
What a joy to learn that it was going to be adapted by Jean-Jacques Annaud, who is none other than the director of The War of Fire, Seven Years in Tibet and Stalingrad, to name but a few. The result, broadcast in 2018, was remarkable. The story, the characters and the narration – very important especially concerning the fashbacks – were perfectly respected.

Après avoir dévoré ce premier tome, je cherchais à me procurer la suite. Dans un tout autre genre, j’arrivais à trouver, dans une ville sans libraire, Le livre des Baltimore. J’engloutissais page après page cette saga familiale racontée avec justesse et sensibilité. Je restais vissée à ma chaise longue au détriment des sorties estivales, pour arriver au bout de cette histoire.


After devouring this first volume, I was looking for the next one. In a completely different vein, I was able to find, in a city without a bookstore, The Baltimore Book. I swallowed page after page of this family saga told with accuracy and sensitivity. I stayed screwed to my deckchair to the detriment of summer outings, to get to the end of this story.

Pour finir la trilogie, La disparition de Stephanie Mailer a été la cerise sur le gâteau. Sortie en 2018, j’étais passée à côté des nombreuses dédicaces faites à Paris. Impossible de m’y rendre sur mes heures de travail sans prendre le risque de me faire virer. En effet, cela aurait impliqué de ne plus avoir de salaire à dépenser dans les romans de Joël Dicker. Situation complexe. J’ai donc renoncé à la possibilité de lui déclarer ma flamme et fait comme à mon habitude, une fois l’été, je me suis étendue sur une serviette, déplié un parasol et ouvert ce nouveau roman.
Mais cette fois-ci c’est la bonne, dès que nous serons débarrassés de ce foutu virus, je serai sur le qui-vive, j’aurai ma dédicace. Et maintenant je vous laisse car je pourrais passer des heures à vous écrire tout le bien que je pense de ces livres mais le mieux, c’est que vous soyez au rendez-vous pour découvrir L’Énigme de la chambre 622.

 

To finish the trilogy, the disappearance of Stephanie Mailer was the icing on the cake. Released in 2018, I had missed the many dedications made in Paris. Impossible to go there on my working hours without running the risk of getting fired. Indeed, that would have meant not having a salary to spend on Joël Dicker’s novels. Complex situation. So I gave up the possibility of declaring my love for him and, as usual, once in the summer, I laid down on a towel, unfolded an umbrella and opened the new novel.
But this time it’s the right one, as soon as we get rid of this damn virus, I’ll be on the alert, I’ll have my dedication. And now I’ll leave you alone, because I could spend hours writing you all the good things I think about these books, but the best thing is that you’ll be at the rendezvous to discover The Enigma in room 622.

 

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